«Juste après le 14 janvier 2011, il y avait beaucoup d'intoxs qui circulaient. L’idée était de se tourner vers les gens en qui nous avions confiance pour filtrer la grosse quantité d'informations qui nous tombait dessus. Pour pouvoir faire ce travail nous avons utilisé l'arme ultime de la révolte tunisienne: Facebook».