«Coloquinte». Tel est le titre de ce documentaire réalisé et produit par Mahmoud Jemni. Il sera projeté le vendredi 19 octobre à Paris, à la Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des Deux rives (FTCR), en présence du réalisateur.
«Hannibal Barca, l’histoire véritable», marquera peut-être un tournant dans notre manière d’appréhender notre héritage historique, en tant que Tunisiens, et légataires de Carthage. Ce livre sorti de l’imprimerie en pleine Révolution, alors que l’histoire immédiate de la Tunisie se mettait en ordre de marche, ne sera pas exempt de fulgurantes prémonitions.
«Le Royaume des fourmis» (Mamlaket Enneml), premier long-métrage du réalisateur tunisien Chawki Mejri, jusque là auteur remarqué pour ses feuilletons dédiés à la télévision sera projetés dans nos salles obscures, à Tunis à partir du 3 octobre 2012. Ce film de deux heures, dont le tournage s'est étalé sur douze semaines en 2010 et dont la post-production s'est achevée en 2011, raconte le combat, sur plusieurs générations, que mène une famille palestinienne pour survivre «sur terre et en dessous» en Palestine occupée.
Saif Mohamed Bin Hilal Al-Sehhi, le fondateur émirati de l’organisation internationale «Peace without limits» a annoncé, lors d’une conférence de presse tenue, jeudi 20 septembre à Tunis, la production d’un film «d'envergure mondiale» ayant pour titre «Mohamed Rassoul Essalam»' (Mohamed, Prophète de la paix).
Le cinéma tunisien marquera sa présence pour la deuxième édition du "Printemps du cinéma arabe" qui se tiendra du 28 au 30 septembre, au Cinéma la Clef à Paris. Il sera représenté par trois films: le court métrage "Le Masseur" (Ettayeb) de Anouar Lahouar, (2011 /23'), le long métrage documentaire "Babylon" de Ala Eddine Slim, Ismaël et Youssef Chebbi, (2012, 121') et le film d'animation "L'Marayet" de Nadia Rais.
«Le professeur», le nouveau film tunisien réalisé par Mahmoud Ben Mahmoud, sortira le mercredi 12 septembre dans les salles le Mondial à Tunis, Amilcar à El Manar, CinéMadart à Carthage et l'Alhambra à la Marsa. Le film nous replonge dans l’atmosphère des années 70, dans un contexte marqué par les tensions entre le gouvernement et les syndicats.
Nadia Jelassi et Mohamed Ben Slama, dont les œuvres ont été exposés à la Abdellia à La Marsa en juin 2012, pourraient écoper d’une peine allant jusqu’à cinq ans de prison s’ils étaient reconnus coupables. Voici que Human Rights Watch appelle à l’abandon de toute poursuite judiciaire à leur encontre. Selon l’ONG international de défense des droits de l’Homme, «les procureurs tunisiens devraient abandonner les accusations contre deux sculpteurs pour des œuvres d’art jugées dangereuses pour l’ordre public et les bonnes mœurs».
Lotfi Abdelli en maître absolu du buzz annonce de manière fracassante une quatrième version de son spectacle, mais cette fois-ci, elle sera 100% dédiée au gouvernement. «Je vous promets que cette pièce vous sera entièrement consacrée. Vous pouvez déjà me réserver une place en prison» dit-il dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux dans la soirée du dimanche 26 août.
Dhafer Youssef donnera un concert, en cette soirée du mercredi 15 août, à partir de 22h. Son spectacle «Dance of the Invisible Dervishes», aura l’honneur de la cérémonie de clôture du Festival International de Carthage. Une trentaine de musiciens seront sur la prestigieuse scène antique.
Le comique et acteur français d'origine marocaine Jamel Debbouze se produira, jeudi 2 août, à Tunis, dans le cadre du Festival international de Carthage 2012. Et ce n’est pas la première fois que Debbouze se produit en Tunisie, puisque il y était en en octobre 2004, pour présenter son show «100% Debbouze», avant de revenir en avril 2012, pour présenter «Jamel Comedy Club», dans le cadre du Festival du Rire.