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«Une centrale électrique tournant à l'énergie nucléaire peut avoir un impact positif sur l'économie tunisienne. Mais le coût élevé de la réalisation de ce projet, implique,  pour en assurer la rentabilité, la mise en place d'une connexion entre les réseaux arabes d'électricité». Tels sont les propos tenus par M. M.Tahar Laaribi, PDG de la Société tunisienne d'électricité et du gaz (STEG), en marge de la réunion des experts arabes tenue du 17 au 19 juin à Tunis.

«Les envois des fonds par les Tunisiens de l’étranger ont augmenté de 25,4% pour atteindre 3,539 millions de dinars (MDT) en 2012, contre 2,822 MDT en 2011». C’est ce qu’a annoncé Chedly Ayari, gouverneur de la Banque centrale de Tunisie(BCT), lors d'un atelier organisé ce mercredi 19 juin, à Tunis, avec le partenariat de la Banque Africaine de développement (BAD).

L'Agence arabe de l'énergie atomique(AAEA) débattra de «l'efficacité technique et économique de l'utilisation de l'énergie nucléaire dans la production d'électricité et le dessalement de l'eau de mer», au cours d’une rencontre organisée du 17 au 19 juin 2013, à Hammamet. Au centre des débats : «le rôle de l'énergie nucléaire dans la satisfaction des besoins grandissants en électricité et en eau», précise un communiqué de l'AAEA, publié samedi.

«Slim Chiboub a actuellement le contrôle de Green Gas & Oil Corp, une société pétrolière basée en Tunisie, dont il détient toujours des parts. Chiboub serait même en contact permanent avec des responsables du secteur pétrolier».

Les Conseils des gouverneurs de la Banque africaine de développement (BAD) et du Fonds africain de développement (FAD) ont décidé du retour de la BAD à son siège à Abidjan, en Côte d’Ivoire, lors de leurs réunions annuelles qui se sont tenues à Marrakech, au Maroc, du 27 mai au 31 mai  2013. Selon le président de la BAD, Donald Kaberuka, «les premiers mouvements sont attendus avant la fin de l’année 2013».

Les professionnels tunisiens de la finance, titulaire d’un diplôme de l’enseignement supérieur et d’au moins trois ans d’expérience professionnelle, pourront accéder à une formation débouchant sur un mastère professionnel en finance islamique. Les études s’étalent sur une période de deux ans avec un volet académique et une formation pratique (stages et projet de fin d’études).

66% des Tunisiens ne sont pas favorables à la demande de prêt faite par le gouvernement tunisien auprès du Fond Monétaire International (FMI). Tel est le résultat d’une étude menée par l’institut Tunisie Sondage, réalisée du 28 mai au 2 juin 2013 sur un échantillon de 1550 personnes, représentatif de la population tunisienne âgée de 18 ans et plus.

Célébrant le troisième anniversaire de sa constitution, Banque Zitouna organise à partir de ce mardi 11 juin 2013, la première édition des «Journées Banque Zitouna de la Finance Islamique», sous l’égide du chef du Gouvernement, M. Ali Laaridh, des ministres des Finances, M. Elyès Fakhfakh, du Développement régional et de la Coopération internationale, M. Lamine Doghri, de la Culture, M. Mehdi Mabrouk et des Affaires religieuses, M. Noureddine Khademi.

Moody’s a annoncé, dans la soirée du mercredi 29 mai, avoir dégradé la note de la Tunisie, et de notre Banque Centrale de Ba1 à Ba2 avec perspective négative. Lors de leur visite en Tunisie au début de ce mois de mai 2013, des experts de l'agence américaine de notation "Moody's", avaient déjà émis un avertissement en ce sens.