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Tribune. N'en déplaise aux militants d’Ennahdha, il est temps que vous ouvriez les yeux! Il y a des moments où la tactique, devient juste un moyen pour faire avaler des couleuvres. Mais là, c'est une baleine que l'on vous fait avaler! Par Ghazi Dali

Ennahdha n’a choisi de soutenir aucun candidat aux élections présidentielles, et de laisser la liberté à ses militants de voter selon leur propre choix. Telle est la décision officielle annoncée tard dans la soirée du vendredi 7 novembre et prise par Majliss El Choura du parti dirigé par Rached Ghannouchi. En clair, si la base est largement en faveur du président de la République actuel Moncef Marzouki, les dirigeants du mouvement n’entendent aucunement le cautionner.

La députée Karima Souid n’a pas fini d’essuyer les centaines de commentaires venimeux sur Facebook, pour un malheureux statut qui s’est juste permis de critiquer le passage télé de Béji Caid Essebsi sur  El Watanya, dans la soirée du jeudi 6 novembre. Du pur burlesque. De quoi inspirer le chroniqueur Yassine Redissi, qui a trempé sa plus belle plume dans l’acide pour rédiger ce texte succulent. 

«Hamma Hammami est Tunisien, Arabe, et Musulman. Je suis fier de mes origines. Je suis fier de l’Histoire de mon pays. Je suis fier de l’Histoire de la Nation Arabe. Je suis fier de l’Histoire de la Nation Islamique». Et c’est le leader de la gauche tunisienne qui le clame, lui-même, dans l’une des ces envolées lyriques dont il a le secret.

Le romancier et essayiste tunisien Abdelwahab Meddeb est mort à Paris des suites d’une «terrible maladie». C’est ce qu’a annoncé ce jeudi 6 novembre la chaîne radiophonique France Culture, où il animait une émission intitulée «Culture d’Islam». Il contribuera pendant plus de 13 ans (de 1974 à 1987), en tant que directeur éditorial des Editions Sindbad, à faire connaître en France les grands classiques du soufisme (Ibn’Arabi, Hallâj, Rûmî etc.).

Humeur. Si ses adversaires avaient une once de sagesse, ils se retireraient tous de la course pour éviter l’humiliation qui les attend au tournant. Parce qu’assurément, les Tunisiens tremperont en masse le doigt dans l’encre mauve, pour voter le 7 qui leur a tant porté bonheur durant 23 ans.

«Ennahdha, une histoire tunisienne»,  tel est le titre du documentaire que la chaîne Arte diffusera dans la soirée de ce mardi 4 novembre. Le film est réalisé par Christophe Cotteret, un jeune réalisateur français qui vit en Belgique à Bruxelles, par ailleurs auteur d’un autre documentaire sur la Tunisie, intitulé «Démocratie année zéro».

Panasonic Marketing Middle East & Africa (PMMAF) a dévoilé au GITEX 2014 à Dubaï sa gamme de produits en phase avec le concept du mode de vie intelligent futuriste. Le constructeur a mis l’accent sur le concept du mode de vie durable par des initiatives, telles que la Ville intelligente durable de Fujisawa, la Solution agricole (la technologie de l’élevage d’intérieur) et les solutions de soins de santé (HOSPI et RESYONE).

Mahmoud Baroudi a annoncé, ce lundi 3 novembre 2014 sa démission du bureau politique du parti l’Alliance Démocratique. Il précise sur les ondes de Jawhara FM que sa décision de démissionner du bureau politique de son parti date d’avant les élections. Pour rappel, Baroudi a dans un premier temps appartenu au Congrès pour la République (CPR), de 2002 à 2005 en Tunisie.

C’est à Monastir, la ville natale du premier président défunt de la Tunisie indépendante, que M. Beji Caid Essebsi, a démarré, ce dimanche 2 novembre, sa campagne électorale pour les élections présidentielles. Un meeting s’est tenu sur l'esplanade du carré de la famille Bourguiba, où le fondateur de Nida Tounes, a récité la fatiha à la mémoire du «Combattant Suprême».