Tribune. Moncef Marzouki, président de la République tunisienne, que j'admirais lorsque j'étais étudiante et dont certains discours de début de mandat m'avaient ému, Marzouki qui lui-s'était positionné pour un cadre juridique des archives de la dictature, lance un Livre Noir avec lequel il renie ses propres positions. Par Farah Hached.